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La commune de Reyrieux s’étend sur 1 569 hectares, des berges de la Saône au Sud-Ouest jusqu’au hameau de Pouilleux sur le plateau de la Dombes. Située dans le département de l’Ain, elle est limitrophe des communes de Trévoux, Parcieux, Quincieux et Toussieux.

Reyrieux appartient à la Communauté de Communes Dombes Saône Vallée, territoire qui bénéficie du label « Pays d’Art et d’Histoire ».

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Carte d’identité de la ville 

Superficie totale : 1 569 hectares

Altitude moyenne : 266 mètres

Point culminant : 321 mètres

Longueur de voirie : 33,45 km

Habitants : 5061 (INSEE 2018)

Un peu de  géographie

À la limite entre plateau de la Dombes et côtière Dombes-Val de Saône, la commune de Reyrieux appartient à la vaste entité paysagère qu’est la Dombes, plateau sédimentaire connu pour ses nombreux étangs. L’atlas des paysages de l’Ain décrit cette partie du plateau de la Dombes comme un espace presque exclusivement occupé par une agriculture de maïs et de céréales, traversé par quelques cours d’eau. Actuellement, le développement des infrastructures de transport favorise la pression urbaine notamment aux portes de Lyon et marque un changement de physionomie naturelle et agricole. Le territoire communal peut se décomposer en trois grandes unités paysagères : le plateau, la côtière et la vallée.

Le plateau

La grande moitié Est de la commune est constituée d’un plateau agricole. Les surfaces cultivées y sont nombreuses, les prairies sont peu présentes et le bâti se concentre essentiellement autour d’exploitations agricoles comme le hameau de Pouilleux.

Une infrastructure majeure de transport coupe le plateau du Nord au Sud : la ligne LGV. Des travaux de terrassement ont été réalisés le long de son tracé pour en limiter la perception. Au sein du plateau, se trouve aussi une zone industrielle qui constitue une entité paysagère bien particulière. Cet espace urbanisé vient en rupture avec le paysage environnant et le reste de l’enveloppe urbaine.

La côtière

Implanté en limite du plateau, cet espace de transition possède une véritable identité et accueille une végétation arborée importante sous la forme de boisements ou d’arbres isolés, pour l’essentiel chênes, châtaigniers ou bouleaux. Le relief très accidenté de cette unité paysagère a limité l’exercice de l’activité agricole à la culture de la vigne. Aujourd’hui, il ne subsiste que quelques parcelles de vigne.

Le paysage est marqué par le développement récent de l’urbanisation originellement localisé en bas de pente. Il tend désormais à remonter de plus en plus haut. L’orientation Sud et Ouest de la côtière est favorable à une bonne orientation climatique des constructions.

La vallée

Le paysage en bord de Saône est assez singulier car malgré la proximité de ce cours d’eau majeur, le paysage ne s’en retrouve pas fortement marqué. Les vues sont limitées à ses abords par une ripisylve quasi continue.

La voie routière par son emprise crée une coupure dans le paysage. Les vues sont plus ouvertes en direction de la côtière en raison d’une topographie plane.

Un peu  d’histoire

Reyrieux a des origines gallo-romaines : des vestiges ont été retrouvés sur le site de la source d’eau minérale et vers le quartier du Bret. D’autres vestiges, mérovingiens, ont été retrouvés dans le quartier des Sables.

Son histoire commence en 843. Par le traité de Verdun qui partage l’Empire carolingien de Charlemagne, la Saône devient la frontière entre les états germaniques et le royaume franc. Dans la région, les territoires de la rive gauche de la Saône sont rattachés plusieurs fois soit à l’Empire soit à différents royaumes éphémères, dont le royaume de Bourgogne, avant de passer en 1032 sous l’autorité du Saint Empire romain germanique.

L’Eglise de Lyon acquiert peu à peu des biens en « Terre d’Empire ». Aux alentours de l’an 1000, ces possessions de l’Eglise de Lyon dans la région se trouvent en grands périls.

C’est dans le dénombrement des biens de l’Eglise de Lyon que Reyrieux est mentionné pour la première fois.

Plus tard, la Seigneurie de Reyrieux dépend des sires de Villars.

Le 11 août 1402 Reyrieux est vendu ainsi que Trévoux, Ambérieux et le Châtelard par Humbert VII, le dernier des Thoire-Villars à Louis II de Bourbon.

C’est le commencement de l’histoire d’une souveraineté indépendante : la Principauté de Dombes, dont les grandes figures seront, au XVII° siècle : Anne-Marie-Louise d’Orléans, duchesse de Bourbon-Monpensier, princesse de Dombes, dite « La Grande Mademoiselle » et Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine, fils de Louis XIV et de Madame de Montespan.

Après 1743, la seigneurie de Reyrieux appartient aux comptes de Garnerans et fait toujours partie de la Souveraineté de Dombes, châtellerie de Trévoux, jusqu’au rattachement au Royaume de France en 1762.

Un peu de  d’économie

L’activité économique de la commune s’est intégrée à la tradition rurale et résidentielle de Reyrieux, avec un tissu commercial et artisanal dynamique. Plus de 60 commerçants, artisans et PME concourent à un équilibre socio-économique local. Enfin, la vie associative de Reyrieux offre aux Talançonnais de nombreuses activités sportives, culturelles ou caritatives.

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